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Du tragique ou bien rien
Je crois que j'aime bien souffrir un peu.
On se sent vivre.
Je suis née pour connaître la liberté d'être enchaînée
La douleur du tragique.
Les chaudes larmes, la gorge brûlante, le souffle coupé et la voix tremblante au bout du fil.
Ces mots sont de moi.
Et je suis sereine en les écrivant.
Calme, tranquille d'être face à un demain des moins certains.
J'ai besoin de tragique.
Mots-tus
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